Plusieurs personnalités célèbres ont marqué le journal télévisé 20 heures sur TF1 et sur Antenne 2. Celle de Christine Ockrent a ses propres particularités. Si vous voulez de plus de détails, bénéficiez de pertinentes informations sur elle.
Une étoile exemplaire des journalistes
Christine Ockrent est entrée dans l’émission du journal télévisé 20 heures en 1981. Grâce à son talent, elle a obtenu le surnom de : « reine Christine ». Elle a pu conquérir un maximum de spectateurs dans ses journaux télévisés. Sa spécialité se concrétise grâce à son franc-parler à travers l’émission 20 heures sur la chaîne de télévision Antenne 2. D’une simple présentatrice au poste de rédactrice en chef déléguée, elle a pu garder sa place jusqu’en 1985. Après son départ, elle a pu se retourner dans le journal télévisé de 20 heures en 1988 avec une hausse de salaire exceptionnelle. Il arriva par la suite que cette flambée de salaire fût l’objet d’une polémique conduisant à son nouveau départ deux ans après. Elle fut la première journaliste et à la fois présentatrice sur la prestigieuse chaîne internationale française. Sa prestation de qualité s’était aperçue par son style direct de rédaction. Par ailleurs, elle arriva à gagner le respect des hautes personnalités politiques durant ces merveilleuses périodes sans oublier la confiance de nombreux téléspectateurs.
Une femme talentueuse de parcours exceptionnel
La star du journal télévisé 20 heures avait poursuivi ses études supérieures en relations internationales à l'Institut d'études politiques de Paris et à l'Université de Cambridge avant d’entrer dans la profession de journaliste. Des milliers d’articles furent publiés durant son passage à l’Antenne 2. Elle assurait plusieurs fonctions dans plusieurs chaînes et magasines comme France Inter, France 3, Europe 1, Europe express, France 24, TV5, RTL et autres. Elle avait également assuré la mission d’éditorialiste et de concepteur de plusieurs émissions radiotélévisées. Il en est ainsi pour les émissions : à la une sur la trois, passions de jeunesse ainsi que de plusieurs émissions politiques. Pour la presse écrite, elle fut à la tête de l’éditorial de plusieurs journaux. Elle avait déjà assuré des fonctions de direction : dans la société Finance communication et compagnie, auprès de l’AEF et autres.
Une incarnation vivante de la liberté
Tout en étant membre du comité de presse, elle avait aidé également le syndicat des journalistes dans ses luttes pour la liberté de presse. Elle avait participé également dans la lutte pour le respect du droit humanitaire et surtout pour la promotion du droit de la femme. Ainsi, elle avait écrit plusieurs ouvrages précisant la place des femmes au sein d’une société. Même si elle était la femme d’un ancien ministre français de la santé, Bernard Kouchner, elle avait toujours maintenu son défi de dépasser le genre masculin durant toute sa noble carrière.