Maryam Rajavi née à Téhéran en Iran le 4 décembre 1953 est une femme politique de renom. Elle est l’épouse de Massoud Rajavi, un dirigeant fondateur de l’Organisation des Moudjahiddines. Tout au long de son long parcours sinueux et mouvementé, elle n’a cessé de lutter pour la liberté des femmes iraniennes. Actuellement, elle est la présidente du Conseil National de la Résistance iranienne ou CNRI. Cette place au sein de la résistance iranienne lui confère une position qui a une influence sur le plan politique, diplomatique, social et culturel.
Maryam Rajavi et son combat pour la liberté des femmes en Iran
En tant que présidente du CNRI, Conseil national de la resistance iranienne, Maryam Rajavi est l’image d’une opposition iranienne au régime. Elle a toujours une volonté de combattre pour la liberté individuelle. Depuis sa jeunesse, elle s’engage dans des mouvements politiques. En 1980, elle s’est présentée à la première élection législative à Téhéran. Maryam Rajavi a obtenu de 250 000 voix. Une fraude électorale l’a défavorisée et elle n’a pas réussi à obtenir aucun siège. Aucun membre des partis d’opposition n’a pas été représenté au parlement. En 1993, Maryam Rajavi devenait présidente du CNRI, une alliance des partis de l’opposition iranienne.
Le CNRI s’est doté d’une assemblée législative à l’étranger composée de 550 membres dont plus la moitié sont des femmes contre la république Islamique d’Iran. Ainsi, Maryam Rajavi a pu dénoncer les injustices du régime des mollahs dans le monde. Grâce à ses discours prononcés à différents niveaux, le Conseil national de la résistance iranienne est reconnu dans le monde entier. Afin de lire les communiqués, les messages et s'informer sur toutes ses activités, visitez le site www.maryam-rajavi.com.
Une position en faveur de la liberté
La Résistance dirigée par maryam rajavi milite pour les droits des femmes et la liberté du peuple iranien. Beaucoup de rubriques ont été soulignées. Le principal point concerne la jouissance des femmes d’avoir les mêmes droits que les hommes. Ni la religion ni leur origine ethnique ne les empêcheraient pas dans leurs études et leur profession. Elles auront le droit de se déplacer librement dans les pays étrangers et d’obtenir une nationalité étrangère.
Entre autres, la loi appliquée est la même pour les femmes que pour les hommes. Elles pourront déposer une plainte aux violations de leurs libertés. Toutes les inégalités tant sociales, qu’ethniques ou religieuses contre les femmes iraniennes seront supprimées de la loi iranienne. Elles auront le droit de porter des vêtements qu’elles désirent. Les lois qui obligent les femmes à porter de voile seront à éliminer. Toutes les femmes iraniennes devront participer à la vie politique. Les femmes devront toucher le même salaire que les hommes si le travail effectué est le même.
Des mesures prises pour un changement radical en Iran
Par les interventions de Maryam Rajavi, le CNRI a proposé des mesures à prendre pour la transition vers un pays démocratique. Elle a rappelé que la domination tyrannique du peuple doit absolument cesser. C’est la seule solution pour pouvoir prôner le vrai développement. Les mesures ont surtout pour objet de reconnaître le droit du peuple iranien à la Résistance pour renverser le régime fasciste des mollahs. Elles cherchent à mettre fin au régime. Tous les pays du monde entier et la communauté internationale doivent être au courant du mal que le régime fait endurer à son peuple.
Le CNRI dénonce les violations des droits de l’humanité commises par les mullahs. Il souligne également la nécessité de porter devant la cour internationale de justice des dossiers de massacre de masse. Pour que les abominations ne se reproduisent plus, les responsables devront être sévèrement punis par les crimes qu’ils ont commis. Pour la peine de mort, Maryam Rajavi a toujours prôné son abolition. Le pouvoir en place applique la peine de mort pour éliminer l’opposition iranienne. Si on ne reconnaît pas le CNRI comme un vrai mouvement qui lutte pour un vrai changement, tous les efforts déployés seront vains.